Ouvrir, ce n’est pas juste partager des données : simple, basique
Durant l’été, Frédéric Charles, directeur Stratégie & Innovation chez SUEZ Smart Solutions, lançait sur Twitter une polémique sur la définition de l’open data qui a abouti sur un billet sur son blog sur ZDNet. Ce billet demande, rien de moins, que de redéfinir les principes de l’open data. Il nous paraît essentiel d’y répondre et de clarifier un point : ouvrir et partager des données sont deux choses différentes.
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Face à la justice, le ministère de l’Intérieur refuse d’appliquer l’Open Data « par défaut »
Le ministère de l’Intérieur s’est décidé à donner suite à notre requête devant le juge administratif. Alors que le gouvernement d’Édouard Philippe s’est engagé il y a peu à appliquer l’Open Data « par défaut », la Place Beauvau déploie de son côté les arguments pour ne pas s’y plier…
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Menace sur l’Open Data par défaut
L’Open Data peut être défini comme la mise à disposition des données produites et détenues par les administrations. L’Open Data par défaut, formule un peu obscure, signifie que toute administration de plus de cinquante salariés est désormais tenue de mettre à la disposition du public les documents administratifs qui ont déjà été individuellement communiqués à une personne, à la suite d’un avis favorable de la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA).
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Des ateliers organisés dans les ministères pour accompagner l’Open Data « par défaut »
La mission Etalab, qui accompagne les administrations dans leur marche vers l’Open Data, organise cette semaine des ateliers au sein de tous les ministères. L’objectif : que ceux-ci définissent une « stratégie données », notamment en vue de l’entrée en vigueur, le 7 octobre prochain, de nouvelles obligations nées de la loi Numérique.
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Cachez moi ces données que je ne saurais voir
Avant sa mise en œuvre le 25 mai 2018, GreenSI avait publié deux billets sur les conséquences possibles du RGPD, le règlement européen de protection des données. L’un s’appuyait sur l’image de la schizophrénie pour continuer de faire de l’open data dans le contexte du RGPD et l’autre sur l’image d’une épée de Damoclès au dessus de l’innovation l’européenne, puisque ses règles ne s’appliquent que sur les données individuelles des européens et créent ainsi une dissymétrie au niveau mondial.
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Google : un nouveau moteur de recherche pour les données ouvertes
Google Dataset Search est un nouveau moteur de recherche permettant de rechercher des ensembles de données ouvertes. Cet outil se destine aux chercheurs, aux scientifiques, aux journalistes, ou à toute autre personne ayant besoin d’accéder aux Open Data sur une thématique spécifique.
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Le partage des données : tournant crucial de la transition énergétique
Alors que le gouvernement français s’est fixé des objectifs ambitieux en termes de politique énergétique, la question du partage des données apparaît comme essentielle. Un domaine dans lequel les différents acteurs français se révèlent être à la pointe de l’innovation.
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L’Open data africain s’invite à Tbilissi
Une délégation de journalistes venus de 12 pays d’Afrique francophone a participé au sommet du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert du 17 au 19 juillet 2018 à Tbilisi, en Géorgie. Tous avaient un objectif commun : s’inspirer de l’événement pour promouvoir l’Open Data chez eux.
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Des étudiants imaginent chatbot, carte interactive et appli à partir des données fournies par les collectivités
Le syndicat Infocom’94 a accompagné les projets de deux groupes d’étudiants, et a mis à leur disposition des jeux de données.
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Open data et sentences arbitrales rendues sur le fondement d’un traité d’investissement
L’open data: une évolution juridique? L’open data, perçue comme la diffusion des données publiques par les administrations1, peut être assimilée à un moyen de réalisation d’un projet politique plus vaste : l’open government, c’est-à-dire l’ouverture des gouvernements dans le but d’assurer davantage de transparence et de renforcer la participation des citoyens dans la prise des décisions publiques2. Ce mouvement s’inscrit dans un contexte de refondation de l’action publique3, pour la moderniser et la rendre plus efficace. En délivrant des données publiques, c’est l’action même des administrations qui pourrait faire l’objet d’un renouveau du contrôle mené par les citoyens, mieux informés et pouvant prendre part directement à la vie de la Cité ; certains auteurs ont ainsi parlé de « citoyenneté augmentée », d’empowerment du citoyen4. Le droit, ou plutôt la technique juridique, aurait alors pour mission de concrétiser et de mettre en application le concept large, issu des sciences politiques, que constitue la gouvernance dite « ouverte ».
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Des bailleurs de fonds européens créent une coalition pour interdire aux scientifiques bénéficiaires de publier dans des revues payantes dès 2020
La science ouverte (open science ou open research pour les anglophones) est un mouvement visant à rendre la recherche scientifique, les données et leur diffusion accessibles (à tous les niveaux d’une société « apprenante »).
Pour cela la science ouverte s’appuie fortement sur le recours à l’Internet ouvert, à l’open data, aux outils de travail collaboratif (dont Wikipédia et Wikiversité ou Wikispecies font partie), au e-learning et au web social de manière à rendre la recherche scientifique et ses données accessibles à tous (amateurs et professionnels). Parce que pro-activement ouverte, elle peut aussi favoriser la multidisciplinarité de la recherche et éventuellement un caractère multilingue en considérant la science et les données comme un « bien commun ».
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